 | Sélectionné en Cadets du Sud-Est alors qu'il évoluait à Mazargues avec les fréres ROUSSEY, Jean-Luc est repéré par le célébre recruteur de l'ASSE Pierre GARONNAIRE qui lui permet d'intégrer le prestigieux centre de formation des verts en 1976.
Ailier reconverti en défenseur latéral, il ne parviendra pas à s'imposer au niveau supérieur dans le Forez (1 seul match en D1), mais il remporte le titre de champion de France de D3 en 1977, avant de servir de monnaie d'échange dans le cadre du transfert d'Alain CHAUSSIN chez les "verts" en juillet 1979.
En deux saisons sous les couleurs forgeronnes, il compte 63 titularisations, chiffre qui témoigne de la confiance accordé par Casimir NOWOTARSKI à ce défenseur rigoureux, possédant un très bon jeu de tête, et contre attaquant de premier ordre.
D'abord placé sur le côté droit de la défense pour palier la semi retraite de Fernand BAREK, il changera de côté après le retour pour sa dernière pige de ce dernier, lors d'un match victorieux à Thonon. La saison suivante, il reprend place sur le côté droit, occasions pour lui d'enthousiasmer les supporters avec deux buts somptueux, à un mois d'intervalle, contre Saint Dié puis pour couronner une belle victoire (3-0) contre le leader Toulouse en septembre 1980.
Parti poursuivre une carrière pro chez les crocos nîmois puis à Nancy où il découvre enfin la D1 pendant deux saisons (54 matchs), il raccroche les crampons chez lui à Miramas en 1990.
Jean Luc est décédé accidentellement sur une route de Provence, le 1er mars 2001.
(MCH) |
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